Dans le texte titré : La disparition du livre ? Et après ? j'envisage comment l'émergence des technologies immersives va, au cours des prochaines années, modifier en profondeur nos interfaces numériques, ainsi que nos rapports à la fiction, aux narrations, et conséquemment, à la lecture.
Ces technologies immersives concernent en effet directement les interfaces hommes-machines, mais la question essentielle qui se trouve posée est en fait la suivante : la disparition de l'objet livre imprimé, comme interface de lecture, s'inscrit-elle dans cette dématérialisation apparente des supports ? Ou pas ?
Les effets de réel que la lecture de romans imprimés engendre apparaissent indépassables, et nous ne devons pas être dupes non plus des vastes stratégies commerciales qui sont en action derrière ce qui n'est souvent en grande partie qu'un business de l'imaginaire. Cinéma et littérature participent pour beaucoup à une fictionnalisation abusive du monde qui ne pourrait plus se réenchanter que dans une relation massivement consumériste.
Au terme de cette réflexion j'avance, en guise de conclusion provisoire, deux idées.
La première est que nous assisterions actuellement au divorce de la lecture d'avec les pouvoirs de l'écrit.
La seconde, que ce sera demain aux œuvres de rendre visible le livre, et non plus l'inverse.
L'intégralité du texte est en ligne en suivant ce lien...
N'hésitez pas à le commenter, et surtout si vous n'êtes pas d'accord avec mon point de vue !
Ces technologies immersives concernent en effet directement les interfaces hommes-machines, mais la question essentielle qui se trouve posée est en fait la suivante : la disparition de l'objet livre imprimé, comme interface de lecture, s'inscrit-elle dans cette dématérialisation apparente des supports ? Ou pas ?
Les effets de réel que la lecture de romans imprimés engendre apparaissent indépassables, et nous ne devons pas être dupes non plus des vastes stratégies commerciales qui sont en action derrière ce qui n'est souvent en grande partie qu'un business de l'imaginaire. Cinéma et littérature participent pour beaucoup à une fictionnalisation abusive du monde qui ne pourrait plus se réenchanter que dans une relation massivement consumériste.
Au terme de cette réflexion j'avance, en guise de conclusion provisoire, deux idées.
La première est que nous assisterions actuellement au divorce de la lecture d'avec les pouvoirs de l'écrit.
La seconde, que ce sera demain aux œuvres de rendre visible le livre, et non plus l'inverse.
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