A la double métaphore du monde comme livre et du livre comme monde, je substitue dans mes recherches celle de la lecture qui sort du bois et du lecteur qui
entre dans la forêt.
L'idée de ce double mouvement dans l'espace de notre imaginaire, et aussi, dans le temps, ce moment unique où l'un et l'autre, la lecture et le lecteur, en viennent à se croiser, à se rencontrer, seraient propices je crois à réfléchir l'autonomisation du lecteur de fictions littéraires.
Ce à quoi je travaille.
Si cela vous intéresse n'hésitez pas à me contacter.
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