mercredi 25 octobre 2017

Sur la Mythanalyse comme clef de lecture - Vers une plus grande autonomie des lecteurs de fictions

Le texte de mon intervention du lundi 23 octobre 2017 à l'Université Paris Descartes, dans le cadre du Colloque international d'étude de la théorie mythanalytique, sous la direction d'Hervé Fischer et Orazio Maria Valastro. 
Une version enrichie sera publiée en 2018 dans M@GM@ - Revue internationale en sciences humaines et sociales.

1 commentaire:

  1. Suite à des commentaires en privé ou sur Facebook, je précise qu'il ne s'agit pas tant, ou pas uniquement en tout cas, de "déconstruire les mythes" que de distinguer entre ce qu'Hervé Fischer nomme "les mythes toxiques", et, "les mythes porteurs". Je considère l'anthropocène comme un mythe toxique, nocif, dans le sens où il véhicule un message négatif, traumatisant et culpabilisant, alors que le bibliocène que je propose, est tout autant fictif, davantage encore peut-être, mais porteur d'un désir et d'un espoir d'émancipation, à terme d'une prise de conscience individuelle et collective, laquelle pourrait très bien être davantage mobilisatrice dans des actions de sauvegarde de la nature que l'anthropocène. La métaphore du "monde comme livre" fait sens elle aussi, non ?

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